Pour un retour à soi, prendre conscience de ce que nous ne sommes pas.

Le véritable pardon, c'est un état de compréhension si claire de l'autre et des raisons de son comportement que vous pourriez dire en toute sincérité qu'il n'y a rien à pardonner.

La dualité ne prend forme que dans l'opposition du moi. L'égo attire ce qui est bien pour lui tandis qu'il rejette ce qui est mal.

Enlever un à un les voiles de l'égo, c'est regarder avec davantage de clarté et constater au final qu'il n'y a aucune séparation. Rien ne s'oppose, mais tout se trouve inclus dans ce qui vit.

Méfiance aux certitudes, elles te limitent à bien des égards !

Accueillir ce qui est juste pour soi... Attention, ce n’est pas toujours confortable, ni ce à quoi l’on s’attend !

Pour aboutir à un avenir dans lequel la planète serait dépolluée des déchets humains, il faut arrêter net de percevoir cela comme une charge financière.

L'argent s'efface, la vie se poursuit.

La vie s'éteint, il ne demeure plus rien…

S’isoler, prendre de la hauteur et devenir sujet de ses observations.

Eviter de s’attacher à l’éphémère du monde matérialisé, car une fois terminé, la perte des repères amène la souffrance. S’ouvrir à plus grand encore…

Attention de ne pas identifier la vie à l’imagination créatrice humaine ! Cette dernière, un outil de matérialisation, est juste un aspect éphémère et infiniment petit de la vie...

A refaire le monde, je me vois comme son maître, au centre des projecteurs… Mais en retournant mon regard vers moi-même, je deviens le maître de ma propre existence et ma lumière illumine l’univers.

Nous sommes tous responsables de nos actes et de leurs conséquences. Comprendre cela à la lumière de notre essence divine engendre des réflexions et des actions orientées vers l'altruisme.

Dans un monde compétitif, il n’y a pas de richesse sans pauvreté…

De plus en plus conscient de ma véritable nature, mes pensées s’harmonisent avec la vie !

Tout ce qui se transforme à l’intérieur peut s’observer à l’extérieur

Aussi simple que le silence les émotions dansent,

Autant de mouvement qu’il en devient palpitant,

De m’observer danser me voilà transformé.

Je pense donc je suis...

Si la pensée s'arrête, l'existence ne s'arrête pas pour autant. C'est parce que j'existe que je peux penser. Se définir par nos pensées limite notre champ d’expériences. 

L'existence est, j’en suis une individualité. Je suis donc je peux penser…

L'amour !

Nul besoin de le chercher,

Il est déjà là, en nous,

Il est un composant de notre nature,

Une seule chose à faire,

Le laisser s'exprimer,

Une fois libéré de nos concepts mentaux,

Il viendra illuminer la vie.

Souvent, les incompréhensions se manifestent quand le respect est corroboré par une vision limitée à nos croyances.

Ainsi, tout ce qui ne s’intègre pas dans notre univers est rejeté, ce qui provoque des interactions tendues.

S'ouvrir à de nouvelles perspectives, c'est admettre que chacun d'entre nous vit une réalité qui lui est propre, et qu'elle ne pourra jamais être identique d'une personne à l'autre.

Autant l'accepter, et nous deviendrons respectueux de ce qui est !

Quand le regard croise l'instant d'un espace,

le voilà capturé pour l'éternité.

Dans cette vie où tout est impermanent,

retrouvons-nous dans l'éternité du moment présent.

La reconnaissance la plus noble est peut-être celle que vous vous accordez en étant pleinement conscient de l’existence ? 

Reconnaitre l’existence et rendre grâce à la vie d'être pleinement intégré à son oeuvre.

Sommes-nous véritablement conscients de notre mode de vie et de ses effets sur l'ensemble du monde vivant ?

Quand la rareté détermine la valeur des choses, il ne s’agit plus de profiter d’une abondance manifeste et accessible, mais d’explorer sans relâche la rareté au détriment de la vie elle-même. Cela pour nourrir l'illusion d'une richesse.

A trop tirer sur la corde des liens, on s'emmêle, on crée des noeuds, jusqu'au jour où quelqu'un finit par tomber...

Prenons soin des uns des autres !

Au-delà des apparences, le principe masculin et féminin est en chacun d'entre nous.

L'équilibrer, c'est passer outre la croyance d'une rivalité homme/femme...

Prendre soin du monde comme l'on prend soin de soi.

Dans toute relation, peu importe sa nature, ne pas chercher à posséder l’autre. Car en réalité,  rien et personne ne nous appartient. 

Aimer simplement.

Plutôt que d’imposer un cadre éducatif basé essentiellement sur notre propre expérience de vie, ne serait-il pas préférable d’inciter nos enfants à explorer leurs propres voies d’éveil, tout en profitant des contributions qu'ils peuvent apporter à notre propre apprentissage ?

Tout ce qu'on raconte, ce n'est qu'un ensemble d'histoires mêlées les unes aux autres par le fil de notre état émotionnel.

Attention aux histoires que nous nous racontons... Elles font notre réalité !

Mensonge… Qu'il soit volontaire ou pas, n'oublie pas à qui tu mens !